Ciel ! Mon amant !

Ciel ! Mon amant !

 

 

 

Vivante, j’invite ton vit à venir,

Piquer le pic de mes empires…

Là où les limbes logarithmiques

Se changent en satins sataniques…

 

Au fil fibreux de ton phallus

Aux portes de mon utérus,

Une éruption arachnéenne

Etends sa toile, trompe l’hymen…

 

La lance lisse lardée de lait

Toujours tendue, angle parfait ;

Cherchera chaque autre chemin

Visitant vallons et ravins…

 

Ma longue langue sans s’alanguir

Savourant le miel et la myrrhe

Ira lécher l’échine chaude

Rose ravisseur en maraude…



07/09/2008
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 17 autres membres